Vous avez insisté dans votre exposé, monsieur le délégué ministériel, sur le fait que le principal problème résidait davantage dans la multiplicité d'actes mineurs que dans la délinquance dure. Or, ces violences d'intensité limitée sont rarement pénalisées alors qu'elles peuvent engendrer des difficultés importantes pour leurs victimes. Dans ce contexte, la pédagogie et la définition d'une politique de longue durée, notamment dans les établissements, sont, à vos yeux, essentielles. Pourriez-vous nous faire partager l'expérience de projets que vous auriez conduits pour lutter contre la violence scolaire ?