Certes. Mais l'éducation thérapeutique et la prévention sont absolument indispensables ; or, aujourd'hui, les médecins libéraux n'ont pas le temps de remplir ces missions qui se situent en amont de l'acte de soin. Il ne s'agit pas du tout de salariat : on en reste ici à une rémunération à l'acte. Mais beaucoup de médecins sont volontaires pour participer à l'expérimentation de nouveaux modes de rémunération, parce qu'ils comprennent l'importance de ces nouvelles missions.
Je m'imaginais même que ces expérimentations constituaient un sujet consensuel.