Je partage totalement le point de vue de mon collègue, il convient de distinguer le préjudice subi par les professionnels et par les particuliers.
Ce faisant, pour être victime du bug, encore faut-il avoir la chance d'être relié au réseau mobile. Malheureusement, la fracture numérique demeure une réalité et de nombreuses zones blanches persistent. Certains secteurs ne sont du reste même pas reliés au réseau filaire, comme cela a été dit par M. André Chassaigne, je sais que Mme Catherine Vautrin rencontre également des difficultés de cet ordre à Champlat-et-Boujacourt. Je crains qu'avec la 4G et le très haut débit, la fracture ne s'accroisse encore, quand les investissements ne se font pas. C'est le cas dans ma circonscription, à Maresville par exemple. Comment comptez-vous contribuer à la réduction de cette fracture ?
Par ailleurs, nous avons débattu l'an dernier d'un projet de loi sur les droits des consommateurs, qui n'a pas abouti, mais qui contenait plusieurs dispositions concernant la téléphonie mobile, qu'il s'agisse notamment des engagements de 24 mois ou du changement d'opérateur. Quelles sont aujourd'hui vos réponses à ces questions qui intéressent les consommateurs au premier chef ?