Votre préoccupation est légitime, madame de La Raudière, mais ce texte fait suite à un rapport d'information que j'ai cosigné avec M. Hervé Gaymard – qui est également co-rapporteur de la proposition de résolution. Des discussions politiques ont donc eu lieu en amont.
En outre, il s'agit d'un texte relativement bref sur un sujet que vous maîtrisez parfaitement : il était parfaitement possible d'engager un débat sur le fond à l'occasion de son examen par la commission des affaires européennes.
Surtout, il s'est écoulé une semaine depuis : vous aviez largement le temps de déposer des amendements !