J'ai tenu à mentionner les équipementiers car l'Union européenne a trop négligé le sujet, au risque de compromettre, comme on le voit aujourd'hui, l'emploi dans ce secteur, mais aussi, à terme, la sécurité des réseaux, voire la souveraineté numérique. Certes, une rédaction telle que « l'ensemble des acteurs du numérique et des télécommunications » les inclurait de fait, mais il me paraît dommage de ne pas les citer.