Parmi les principales commandes en 2013, se trouvent trois patrouilleurs et la contractualisation du partenariat public-privé BSAH. Or vous avez parallèlement repoussé le patrouilleur du futur. Qu'en est-il du bâtiment multi-missions – B2M – du futur, qui a vocation à desservir nos zones de souveraineté ? Il fera l'objet de financements interministériels du fait qu'il sera amené à remplir des missions très diverses. La disparition des P400 et du BATRAL va provoquer un trou capacitaire important.
Par ailleurs, quelle est votre philosophie face aux sociétés militaires privées ? Nous manquons de textes législatifs sur le sujet, ce qui ne fait que profiter aux sociétés anglo-saxonnes.