Vous avez évoqué le repyramidage. Pour 100 hommes, il y a actuellement seize officiers, quarante-quatre sous-officiers et trente-neuf hommes du rang. Les réductions d'effectifs engagées depuis plusieurs années ont-elles conduit à réduire les recrutement dans les écoles d'officiers et de sous-officiers afin de parer au déséquilibre ?
Je tiens à rappeler que la gendarmerie est toujours présente au sein des OPEX.
Ne conviendrait-il pas, enfin, de revoir notre participation aux missions de l'ONU, qui ne finissent jamais et sont très onéreuses pour les pays participants ? Pourquoi avons-nous encore des militaires au Sahara occidental, dans le cadre de la Minurso, ou au Sinaï ?