Merci, monsieur le rapporteur spécial, pour la précision et la concision de votre exposé.
Le montant de la dette de la DGAC atteint un niveau inquiétant : comment en est-on arrivé là ? Est-il réaliste d'imaginer que le poids de cette dette va se stabiliser puis décroître dans les trois ans à venir ?
Vous avez salué la bonne santé financière d'Aéroports de Paris mais n'a-t-elle pas été obtenue au détriment de la qualité des services ? Il est en effet admis que Roissy-Charles de Gaulle ne se situe pas au niveau des références mondiales en la matière et cette situation est décriée par nombre de passagers en transit : estimez-vous que la direction d'ADP fait assez pour y remédier ?