Monsieur le secrétaire général, depuis 1995, aucune structure publique n'a dû consentir autant d'efforts que nos armées, et l'on continue à leur en demander. J'imagine l'ampleur des mouvements sociaux si le gel des 30 % des avancements imposé aux militaires était appliqué dans les hôpitaux ou dans l'éducation nationale ! Dans ce contexte, comment les administrations du ministère de la défense peuvent-elles contribuer à l'effort ?