Vous avez déjà évoqué, monsieur le secrétaire général, les problèmes liés au système LOUVOIS ; il s'agit désormais de répondre au mécontentement qu'il suscite et qui ne fait que se renforcer.
Les crédits affectés à l'indemnisation des victimes des essais nucléaires sont disproportionnés par rapport aux dépenses réelles. Malgré l'assouplissement des règles d'indemnisation, les dix millions d'euros prévus dans le budget de cette année ne seront pas dépensés. Quel est votre avis sur cette question, et sur quelle base ce montant a-t-il été établi ?