Il est aujourd’hui vital de marquer cette pause fiscale que François Hollande s’est engagé à réaliser à deux reprises et que le groupe UDI a réclamée par la voix de son président, Jean-Louis Borloo. Ce matin même, Ségolène Royal vous exhortait à marquer une telle pause.
Monsieur le Premier ministre, la promesse d’une pause fiscale devrait se traduire par l’absence d’augmentation des impôts en 2014. Elle n’est donc pas compatible avec les augmentations de TVA annoncées, ni avec la hausse des cotisations pour financer les retraites, avec l’abaissement du quotient familial, avec la suppression des aides pour la scolarisation des enfants et avec la taxe sur les mutuelles.