qui ne sait pas lui-même ce qu’il veut pour la Syrie.
Monsieur le Premier ministre, nous regrettons que, pour la première fois de notre histoire récente, l’emploi des forces armées françaises soit suspendu à une éventuelle décision du Congrès américain : c’est une perte de souveraineté pour la France. (Mêmes mouvements.)
C’est également la preuve, monsieur le Premier ministre, qu’il n’y a pas d’un côté les munichois pacifistes et de l’autre les interventionnistes courageux.