Cela suppose que les adultes fassent un effort et que l’on s’engage. Un quart des communes l’ont déjà fait, dont certaines comptent parmi les plus déshéritées de France. Certaines communes riches ne l’ont pas souhaité. Tout dépend d’où l’on part…
Le plus important, comme le Président de la République l’a souhaité, c’est que nous parvenions au terme de cette réforme comme au terme d’autres réformes que nous avons engagées. Pourquoi ? Il ne s’agit pas, en l’occurrence, de se lancer dans une polémique politique puisque vous étiez favorables à cette réforme il y a deux ans, mais de redresser le niveau scolaire du pays et de redresser ainsi le pays lui-même.