On nous propose, dans cet article, une mesure incantatoire qui permet seulement au parti socialiste d'essayer de faire croire qu'il va traiter le problème de la dépendance. On commence par instaurer un prélèvement, minime au regard des besoins. Ceux-ci atteignent en effet 7 ou 8 milliards d'euros, en plus des 22 à 23 milliards déjà inscrits en dépit de la crise que nous avons essuyée au cours de ces années. C'est pourquoi nous avions dû, à regret, repousser la réforme.
De surcroît, le nouveau prélèvement sera affecté à un autre objectif en 2013.