Je ne sous-estime pas l’importance de l’objectif, mais – pardon d’avoir une nouvelle fois le regard qui doit être celui d’un rapporteur, qui consiste à analyser les amendements –, pensez à la complexité que cela engendrerait. Il faudra vérifier si, dans un restaurant, les ingrédients répondent à des normes biologiques. Or que se passera-t-il si le chou-fleur est bio mais que la saucisse qui l’accompagne ne l’est pas ?