Madame la ministre a raison d’insister : ce sont des mesures très importantes. Certains ont tenté de les minimiser, soulignant que seules 4 % des personnes seraient concernées. Il s’agit plutôt de 15 % d’une classe d’âge, en particulier les jeunes et les femmes, qui connaissent des carrières avec des emplois à temps très partiel – en moyenne, onze heures et demie par semaine. Je salue ces mesures : beaucoup de trimestres, bien que cotisés, étaient perdus. Cette injustice est réparée.