Vous parlez ensuite de la pression fiscale. Dois-je vous rappeler, monsieur Jégo, avec beaucoup de calme et d’amitié, qu’en 2011 vous avez prélevé 20 milliards d’euros, sans vergogne, sur les Français. En 2012, vous avez prélevé, sans vergogne, sur les Français, 12 milliards d’euros.