Alors, monsieur le député, celui qui vous parle, qui a été lui-même naturalisé à dix-huit ans parce qu’il a appris à devenir français, parce qu’il aime ce pays, parce qu’il aime ses valeurs, considère que d’autres, à condition qu’ils fassent le même chemin – ce qui prend seize ans en moyenne – peuvent devenir français. C’est une force et un atout pour notre pays.
Monsieur le député, par ce type de question, par ce type d’insinuations,