En l’état actuel de la législation, le rachat d’une période d’études n’est possible que si elle n’a pas donné lieu à cotisations ou à contribution à l’assurance vieillesse pendant l’année au titre de laquelle le rachat est demandé. Si elle était maintenue, cette condition aurait pour conséquence de priver du bénéfice de l’aide au rachat aidé des étudiants qui travaillent pour financer leurs études par ailleurs. Ce serait totalement incohérent.