Défavorable. Le problème est parfaitement identifié, mais c’est aux partenaires sociaux d’étendre l’accord. Vous nous dites qu’ils sont volontaires pour aller de l’avant, s’il y a une prise en charge de l’État. Mais ailleurs, l’État n’assure aucune prise en charge. À un moment, il faut que chacun assume ses responsabilités. Le travail que nous avons à faire, c’est de convaincre les partenaires sociaux et de les amener à avancer : un rapport ne changera strictement rien. Vous portez inlassablement ce problème, monsieur Nilor, puisque vous m’avez déjà posé des questions à son sujet, mais aujourd’hui, nous avons dépassé le stade du rapport et ce sont les partenaires sociaux qu’il faut convaincre. Vous comprenez ce que je veux dire.