En effet, lorsqu'on leur sucre des heures supplémentaires, les salariés peuvent se retourner vers leur patron pour obtenir une compensation salariale. Ce n'est donc pas un bon argument, et ce n'est pas forcément ce qu'entendait le ministre mais, en l'occurrence, le rapporteur m'a convaincu que mon amendement était mal rédigé, notamment parce qu'il touchait d'autres catégories que les journalistes. En conséquence, je retire l'amendement n° 227 .
(L'amendement n° 227 est retiré.)