Monsieur le ministre, nous avons en effet déjà eu ce débat au mois de juillet. Je ne mets pas en cause votre honnêteté intellectuelle ni vos capacités, mais je crois malheureusement que cette mesure était inspirée par le climat de la campagne électorale.
Votre candidat n'a voulu voir ni la crise, ni le traité européen qu'il vient de faire ratifier, et il semble n'avoir découvert la crise qu'après l'élection.