Vous perturbez les parents, qui s’inquiètent pour leurs enfants. Vous ignorez le travail des clubs sportifs.
Enfin, monsieur Peillon, et croyez que je le regrette, vous confortez le Président de la République dans son rôle de Président des impôts ! Cessons de nous mentir : vous avez doté votre réforme d’un financement de l’ordre de 50 euros par an et par enfant, alors que chacun sait bien qu’il ne faudra pas moins de 300 euros !