Monsieur le Premier ministre, vous rendez-vous compte de l’absurdité de cette réponse ? Vous rendez-vous compte que les familles n’ont pas le choix ? C’est comme si on disait « Notre politique de matraquage fiscal est un succès, puisque les Français sont bien obligés de payer leurs impôts » ou « le RER B fonctionne bien, puisqu’il est bondé » ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Monsieur le Premier ministre, personne ne conteste la nécessité de mieux répartir les rythmes éducatifs.