Monsieur le ministre des affaires étrangères, nous savons bien – et vous, mieux que quiconque – combien la question d’Orient est compliquée. Les événements malheureux des dernières semaines nous l’ont encore rappelé.
Ma question sera directe, et j’espère qu’elle sera consensuelle : qu’attendez-vous, monsieur le ministre, pour faire entendre la voix de la France et pour dénoncer les persécutions des chrétiens en Orient ?