Qui peut accepter que des offres de reprise soient cachées aux salariés alors qu’elles existent ? Qui peut considérer comme un repoussoir un pays qui protège les entreprises présentes sur son territoire, d’autant que les investisseurs étrangers y sont les bienvenus pour reprendre les sites abandonnés et constater que leur reprise y est encouragée et même sécurisée ? Nous ne fermons pas la porte aux investissements étrangers !