Nous commençons mal ce débat, mesdames et messieurs de l’UMP. Si ce débat doit se résumer – c’est votre seul argument – à nous renvoyer les uns aux autres la responsabilité des licenciements et des drames que vivent des centaines et des milliers de nos concitoyens, nous ne sommes franchement pas à la hauteur de notre tâche. Franchement, c’est à désespérer de la République.