Nous ne l’ignorons pas ; je ne vois pas, d’ailleurs, comment on pourrait ignorer cet état de fait. Pour autant, cela n’empêche pas que souvent, ces entreprises ne veulent pas de repreneur – je l’ai constaté trois fois dans ma circonscription. Elles disent : « je ne veux pas de votre repreneur, je ne veux pas qu’un concurrent s’installe là où j’étais. Je ne veux pas, quel que soit le talent de celui ou celle que vous me présentez, qu’il puisse à l’avenir utiliser le site et les outils dont je disposais, quel que soit le prix qu’il les paye. Je veux surtout rester maître sur mon marché. »
Je suis très choqué par cette attitude. C’est de cela que nous parlons, pas d’autre chose. Il faut que nous puissions – et sur cela, je pense que nous pourrions nous rassembler – favoriser la reprise de ce site par un autre entrepreneur. Vous avez dit que ce texte est anti-entrepreneur : c’est totalement faux !