Je tiens à souligner l’importance de ce sujet. Nous retenons les arguments cohérents avancés par le rapporteur et la ministre : ils nous invitent à creuser la question, car il est vrai qu’il doit forcément y avoir une cause médicale, et heureusement. Il est aussi vrai que l’on ne peut pas traiter un jeune de seize ou dix-huit ans comme un enfant de cinq ans, la place des parents n’est pas la même. Je crois donc qu’il est nécessaire de progresser sur ce point. Dans la suite de la mission, peut-être aurons-nous l’occasion d’approfondir cette question.