Mais ensuite, monsieur Debré, durant les cinq années de la précédente législature, votre force de conviction n’a manifestement pas été efficace auprès de vos amis politiques, puisque à aucun moment le précédent gouvernement, dirigé par M. Fillon, dont on s’est aperçu qu’il s’intéressait beaucoup à Paris, ne s’est préoccupé d’inscrire une telle réforme à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale. Et, comme par enchantement, c’est non pas au début cette législature, mais il y a quelques semaines, que vous proposez tout de go cette modification importante.