Vous nous avez également dit, monsieur Debré, au cours de la discussion générale, que nous voulions modifier le nombre de conseillers à notre avantage. Libre à vous de considérer que la démographie est à notre avantage ! Je ne suis pas loin de partager cette opinion, mais telle ne doit pas être la préoccupation du législateur. Celui-ci doit s’en tenir à ceci : légiférer de manière juste. Je suis frappé que chaque fois que nous évoquons, dans cet hémicycle, les questions relatives aux élections, les propos tenus sont dignes d’un bureau politique de parti