Ne vous inquiétez pas, mon intervention ne durera que quelques instants.
Je dirai simplement que nous voterons contre cette proposition de loi, car nous sommes très tristes de voir que vous n’avez pas accepté de rendre la parole aux Parisiens. Je trouve dommage que vous ayez peur du scrutin direct. Je crois que c’est une faute grave que vous commettez là. Je regrette infiniment que les Parisiens n’aient pas été mieux considérés.