Je veux d’abord saluer la continuité de l’action publique à travers le travail qui aujourd’hui se conclut, mais qui est entamé depuis longtemps. De nombreux rapports préconisaient cette fusion : nous gagnerons en efficacité et en simplicité.
Mais je dois dire que l’argument du conflit d’intérêts qui vient d’être avancé – il fallait oser ! – me semble davantage un argument de négociant que de négociateur.