Est-ce aujourd’hui le débat de ce changement fondamental de doctrine que vous souhaitez ?
Vous conviendrez qu’en une heure trente, là où les Britanniques ont débattu dix heures avant de voter, ce sera un peu court, d’autant que vous ne nous avez pas réellement éclairés.
Votre empressement à soutenir l’axe Paris-Washington est même quelque peu surréaliste lorsqu’on se souvient que vous avez refusé la prolongation de la présence de nos armées en Afghanistan nous accusant – je vous cite – « d’avoir acquitté sans mot dire les demandes de l’administration Bush ».