Vous avez souhaité, devant la gravité de la situation pour le monde, l’observer avec les lunettes de la politique intérieure politicienne qui est la vôtre ! C’est votre choix. Moi, je préfère discuter de la Syrie et de ce qu’il s’est passé lors de ces massacres et de ce que cela entraîne pour le monde ! (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Mais gardons aussi l’esprit clair : notre renoncement renforcerait les extrémismes. L’attente les a déjà renforcés. L’intérêt de Bachar al-Assad est de se trouver face à face avec les djihadistes. Ce ne sont pas ces derniers que visaient les attaques chimiques du régime, mais l’opposition démocratique.