Et pour assurer le droit, la force est parfois nécessaire. C’est ce qui a été fait au Mali, sous l’autorité du Président de la République et de votre Gouvernement, avec un soutien très large des forces politiques françaises : une attaque identifiée, le risque d’une mainmise immédiate de narco-djihadistes, une résolution de l’ONU, des accords bilatéraux, l’engagement des forces africaines, le soutien logistique de nos alliés, la qualité de nos troupes et maintenant une force de l’ONU et des élections démocratiques dans ce pays – bref, le jour d’après avait été prévu. Or, dans cette affaire, pour l’instant, le jour d’après n’est pas prévu !