Demander un vote parlementaire dans quelques jours ou quelques semaines permettrait à la France de retrouver son autonomie de décision, c’est-à-dire sa souveraineté, nous donnerait la possibilité de voir comment les choses évoluent suite à la rencontre russo-américaine et au rapport des experts de l’ONU et, faisant en sorte que nous nous prononcions en dernier, nous donnerait l’occasion de nous replacer au centre d’un jeu au sein duquel, pour l’heure, nous paraissons marginalisés.