Cet argument est donc quelque peu spécieux. La France pourrait exiger de la Syrie des couloirs humanitaires et des zones de sauvegarde ce qui, en cas de refus, justifierait notre intervention au-delà de la simple perspective punitive.
Quoi qu’il en soit, on peut raisonnablement penser que si nos frappes ont lieu, le gouvernement syrien renoncera à utiliser à nouveau les gaz de combat, d’autant plus qu’il n’est pas certain que le crime du 21 août soit imputable au dictateur lui-même