C’est un progrès, alors inscrivons-nous dans ce contexte. Mais je voudrais éclairer sur un point M. Jacob et tous ceux qui ont posé la question du vote. La première question qu’il faut poser, ce n’est pas celle du vote ! C’est celle de l’usage d’armes chimiques et de la responsabilité de Bachar al-Assad. C’est d’abord à cette question qu’il faut répondre en toute clarté : c’est cela, le problème de fond ! Mais allons au bout de la question du vote. Imaginons par exemple que nous ayons exigé, avant l’intervention au Mali, un vote du Parlement…