Monsieur le rapporteur général, vous nous dites que des gens vont voir leur impôt augmenter parce que leur situation s'améliore : ce sont des propos de bon sens, qu'on aurait pu tenir il y a dix ans, il y a quinze ans et qu'on pourra tenir dans vingt ans.
Ce n'est pas le sujet : vous avez des gens qui, naguère, n'étaient pas fiscalisés pour les heures supplémentaires et qui vont l'être désormais. Vous n'en tenez pas compte, mais j'insiste : cela touche neuf millions de nos compatriotes !