Nous nous battrons aussi à l'automne si vous décidez de revenir sur l'exonération de taxe professionnelle pour les entreprises qui ont un chiffre d'affaires inférieur à 500 000 euros. C'est le dynamisme de nos artisans, de nos commerçants et de nos PME qui est en jeu.
La France ne restera pas, monsieur le Premier Ministre, une grande nation prospère, dotée d'une industrie forte, en baissant le temps de travail et en augmentant le coût du travail. Vous voulez redresser l'industrie mais vous allez l'asphyxier et la condamner.