Je sais, par profession, dans quelles conditions on fabrique les pneus – depuis les années 1950, les choses ont heureusement beaucoup changé. Pour ma part, je le répète, je ne suis pas rentré dans l'usine. Des plaintes ont été déposées, des procès sont en cours. Il ne m'appartient pas de me prononcer sur ces points.
Des questions sont posées, c'est vrai, sur les conditions de travail et sur la santé des salariés.