Durant la précédente législature, la ministre de l'écologie a mis en avant la protection du loup en laissant de côté de nombreux autres aspects de la politique écologique, comme les gaz de schiste. Mais cela est un autre sujet. Il est malheureusement nécessaire de maintenir les crédits destinés à compenser les dégâts causés par les loups. De plus, l'adoption d'un tel amendement serait dommageable pour le programme « Paysages, eau et biodiversité ».