Tout d’abord, vous voulez remettre en cause, à marche forcée, la convention médicale négociée jusqu’en 2015, à l’aide d’un règlement arbitral si besoin. Là encore, les syndicats médicaux jugeront. Puis vous oubliez que ces centres publics de santé, ex « dispensaires » du XIXe siècle, accusent un important déficit, comme l’a montré un récent rapport de l’IGAS que j’ai également lu.