Une troisième catégorie de pupilles de la Nation mérite la reconnaissance de l'État : les enfants de parents morts les armes à la main et reconnus par la mention marginale « Mort pour la France », portée sur les registres d'état-civil. Il y a quelque temps, le ministre ainsi que la rapporteure s'étaient montrés ouverts à la création d'une mission d'information à ce sujet. L'amendement vise à allouer 10 millions d'euros supplémentaires à l'indemnisation des victimes d'actes de barbarie durant la Seconde Guerre mondiale, afin d'étendre le bénéfice de ce dispositif à ces orphelins.