Il s'agit d'encourager la prise en charge de A à Z de certaines maladies chroniques, en plein essor, de manière à offrir un service plus efficient et de meilleure qualité. Cela concerne notamment les insuffisances rénales, cardiaques ou respiratoires. Lorsque la structure concernée sera en mesure d'assurer la continuité des soins, elle le fera ; sinon, elle orientera le patient vers le ou les professionnels les plus aptes à y pourvoir.
La phase aiguë d'une maladie chronique ne nécessite pas systématiquement l'admission aux urgences : l'amendement vise à inscrire l'exigence de continuité des soins dans les accords conventionnels interprofessionnels.