Ce n'est pas en contraignant les citoyens que l'on obtient les meilleurs résultats. Il s'agit en l'espèce d'une demande insistante des généralistes dont, je le rappelle, nous manquons cruellement. Nous serions bien inspirés d'autoriser une mention informatique d'autant que c'est le législateur lui-même qui a poussé à l'informatisation des cabinets. Cette exception est très mal vécue par une profession qui est au coeur du système de soins et il vaudrait mieux éviter de décourager ceux qui ont cette vocation.