Aujourd'hui, ce sont bien les services de l'ASP qui, dans les DOM, interviennent sur les installations – ce que faisaient les ADASEA (associations départementales pour l'aménagement des structures et des exploitations agricoles) dans l'hexagone.
On a constaté qu'en ce domaine, la situation différait de celle de la métropole : les jeunes agriculteurs sont plus âgés et doivent s'attendre à un véritable parcours du combattant. Concrètement, en tant qu'opérateur, quel serait l'idéal à atteindre et quels seraient les principaux problèmes à résoudre ? Comment pourrait-on faciliter l'installation de nos jeunes ? On a déjà parlé du foncier. Pouvez-vous nous parler plus particulièrement des questions liées au financement de l'installation et au rôle des filières ?