Par définition, nous gérons les dispositifs aidés. Il est donc logique que nous connaissions mal les personnes qui n'en bénéficient pas. Il y a bien sûr quelques transferts entre conjoints ; le cas de personnes affiliées à l'AMEXA, mais n'ayant pas de projet professionnel susceptible de les amener dans un processus d'inclusion économique et de professionnalisation ; enfin, comme le disait M. Roche, celui des producteurs ou des personnes qui ont une opportunité foncière et qui vont s'installer en restant dans l'informel, des exploitants pour lesquels le fait de rentrer dans un dispositif administré et encadré poserait des difficultés.