Combien Chorus a-t-il coûté à la DGA en intérêts moratoires ?
Par ailleurs, s'agissant du rapprochement raté entre Thales et Safran, ne conviendrait-il pas d'invoquer également des problèmes de dimension ? Ce rapprochement ne risquait-il pas de faire passer ces deux entreprises d'une logique industrielle à une logique financière ?
Enfin, comment la DGA perçoit-elle l'intervention de l'État actionnaire dans l'industrie de défense, notamment en vue d'éviter la concurrence à l'exportation entre des entreprises où l'État est acteur ou des délocalisations qui ne seraient pas justifiées par des contrats de vente ? L'État actionnaire doit-il se comporter comme un actionnaire ordinaire ?